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Stress au travail : stressé par le chef ?

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Un chef peut facilement constituer un facteur de stress important. En effet, la plupart d’entre nous avons un chef au-dessus de nous, et bien souvent, il n’est pas étranger à notre éventuelle situation de stress. Il faut dire que, dans la catégorie chef , cohabitent aussi bien des spécimens délicieux que d’autres invivables.

 

Voici 5 manières de savoir si son chef est un bon manager… ou un moins bon :

 

Un chef définit clairement les missions

 

Au travail, naviguer dans le flou, ce n’est positif pour personne. Un bon chef doit définir qui fait quoi et comment. Sans quoi, tout le monde s’y perd.

 

Un bon chef sait rester à sa place

 

Ni trop loin, ni trop proche : la juste distance est difficile à trouver, mais elle est nécessaire. Un chef ne doit pas non plus passer sans cesse du registre professionnel au registre affectif. Il n’est pas là non plus pour séduire ou être aimé.

 

Un chef est juste

Mettre en concurrence les salariés de son équipe, c’est assez fréquent, mais contreproductif. Celui qui est félicité ce mois-ci par le manager risque d’être pris en grippe par l’équipe. Et ceux qui ne sont pas au tableau d’honneur se sentiront blessés, au point qu’ils y perdront peut-être toute motivation.

 

Un chef sait recruter

 

Trouver la bonne personne pour un job, c’est compliqué. C’est en ajustant au plus près les compétences d’un candidat aux qualités requises pour tel ou tel job qu’on fabrique un salarié heureux. Car le bien-être au travail provient de ce sentiment qu’on fait bien le travail pour lequel on a l’impression d’être fait.

 

Un chef ne mélange pas vie privée et vie publique.

 

Il est habituel que le chef sache sur un salarié des choses que les autres ignorent : son conjoint est gravement malade, c’est pour cela qu’il a dû s’absenter ces temps-ci ; il rencontre des difficultés financières car son conjoint est au chômage, etc. Un chef ne doit pas utiliser ces éléments de la vie privée pour faire pression sur son salarié. En jouant ainsi sur les deux tableaux, il risque de rompre le contrat de confiance qui l’unit, normalement, à son salarié.